In Tenebris - Maxime Chattam - BLOG - LECTURES ET GOURMANDISES
In Tenebris - Maxime Chattam

In Tenebris - Maxime Chattam

L’histoire

Des ténèbres, nul ne sort indemne. Les propos de Julia, retrouvée scalpée, errant dans les rues de Brooklyn, n’ont de sens que pour elle. Elle affirme sortir de l’Enfer, avoir échappé au Diable lui-même. Et n’être pas la seule … .
Sous la neige new-yorkaise, couve un feu de tourments - un bûcher d’innocents. Le profileur Joshua Brolin sait qu’il lui faudra y plonger.
Sans espoir de salut … .

Mon avis

Même si le second tome peut se lire de manière indépendante, il est selon moi préférable de lire la trilogie dans l’ordre.

Joshua Brolin, que nous avions découvert dans « L’âme du Mal », est de retour pour une nouvelle enquête. Il a abandonné son activité au sein de la police de Portland et est désormais détective privé, à son compte.

Nous retrouvons un homme meurtri et beaucoup plus sombre que dans le premier volet. Les années ont passé et pourtant Joshua ne s’est jamais remis de l’affaire du « Bourreau de Portland ».



Il débarque à New York à la recherche d’une jeune femme disparue et sera très rapidement amené à faire la rencontre d’Annabel O’Donnel, flic à New York, qui se voit confier une enquête particulièrement sordide.

Rapidement, Annabel va découvrir que plusieurs dizaines de personnes disparaissent chaque année à New York. La police n’a jamais fait le rapprochement car les victimes n’ont absolument aucun point commun.

Joshua travaillera en parallèle de la police et mènera sa propre enquête. Il utilisera ses méthodes d’ancien profileur afin d’avancer dans ses recherches et Annabel et lui se mettront d’accord pour s’entraider.

Ces deux-là forment un beau duo parce qu’ils ont beaucoup de choses en commun : ils ont tous les deux été marqués par la disparition d’un être cher et ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes.

Ce deuxième volet de la trilogie du mal est beaucoup plus sombre et angoissant. Maxime Chattam va encore plus loin dans l’horreur et dépasse parfois les limites du supportable.

Certaines scènes sont difficiles, on plonge dans une terreur absolue, au point que j’en avais du mal à fermer l’oeil.

Et pourtant, « In Tenebris » est impossible à lâcher et je vous le recommande vivement !

Note